LORSQUE TU GLISSES
Dans ton bikini bleu pâle
Je te regarde évoluer
Sur l’aire municipale
D’un bassin un peu chloré.
Calmement tu brasses l’eau
Sur un rythme langoureux.
Ça clapote comme il faut
Pour m’écarquiller les yeux.
Oui ma complice,
- Pourquoi le taire ? -
Lorsque tu glisses
Tes charme’ opèrent!
Oh ma complice,
Si je t’attrape…
Tu vois, tu glisses
Et je dérape!
L’ouverture de tes cuisses,
Le va-et-vient de tes reins,
Je ne suis pas seul en Suisse
À en jouir, je le vois bien.
Là-bas sur le bord, en face,
Un garçon jette ses yeux
Dans tes remous, quand tu passes
Comme un ange crapuleux.
Cet éphèbe te harponne
Et sans bouger il te suit.
Il n’est plus là pour personne
(J’ai connu ça avant lui).
Je me trouble ; il est ailleurs,
Assis là mais exilé.
Il nage dans l’impudeur
De ses fatales pensées.
Refrain
Tu continu’s tes longueurs,
En surface indifférente,
Et pourtant, mon petit cœur,
Tu es de plus en plus lente…
Tu décomposes pour nous
Tes admirateurs discrets,
Tes mouvements. Je suis sous
Ton emprise ivre à moitié.
Le garçon fait des émules,
Mais parmi eux, deux affreux!
Il me devient ridicule
Tout à coup ton petit jeu.
Moi je ne veux que des anges
Pour t’admirer ma jolie.
Y’a des yeux qui me dérangent
Sur ton petit bikini. (bis)
O.Umhauer
Dans ton bikini bleu pâle
Je te regarde évoluer
Sur l’aire municipale
D’un bassin un peu chloré.
Calmement tu brasses l’eau
Sur un rythme langoureux.
Ça clapote comme il faut
Pour m’écarquiller les yeux.
Oui ma complice,
- Pourquoi le taire ? -
Lorsque tu glisses
Tes charme’ opèrent!
Oh ma complice,
Si je t’attrape…
Tu vois, tu glisses
Et je dérape!
L’ouverture de tes cuisses,
Le va-et-vient de tes reins,
Je ne suis pas seul en Suisse
À en jouir, je le vois bien.
Là-bas sur le bord, en face,
Un garçon jette ses yeux
Dans tes remous, quand tu passes
Comme un ange crapuleux.
Cet éphèbe te harponne
Et sans bouger il te suit.
Il n’est plus là pour personne
(J’ai connu ça avant lui).
Je me trouble ; il est ailleurs,
Assis là mais exilé.
Il nage dans l’impudeur
De ses fatales pensées.
Refrain
Tu continu’s tes longueurs,
En surface indifférente,
Et pourtant, mon petit cœur,
Tu es de plus en plus lente…
Tu décomposes pour nous
Tes admirateurs discrets,
Tes mouvements. Je suis sous
Ton emprise ivre à moitié.
Le garçon fait des émules,
Mais parmi eux, deux affreux!
Il me devient ridicule
Tout à coup ton petit jeu.
Moi je ne veux que des anges
Pour t’admirer ma jolie.
Y’a des yeux qui me dérangent
Sur ton petit bikini. (bis)
O.Umhauer
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire